Depuis quelques temps Tom et moi passons passablement de temps ensemble. Enfin disons que cela dure depuis qu'il est enfin rentrer chez lui c'est a dire dans notre maison a tous les deux. Oui car je n'ai jamais considerer qu'il était chez lui lorsqu'il vivais avec...Elle. C'est moi sa famille et Noam à la rigueur mais ce n'ai pas elle et su ça je peu être assez dur lorsque nous en parlons Tom et moi Néanmoins je crois qu'il commence a comprendre ce que je veux dire et qu'il commence a être du même avis que moi. C'est pour cela d'ailleurs qu'il a récemment voulu avoir la garde partagée de Noam. Et c'est vraiment chouette moi je suis dingue de ce gamin On fait plein de truc dont j'ai plus l'habitude que je faisait avec Tom et maman quand on était petit et là...Enfin c'est un vrai bonheur d'avoir le loulou avec nous. tant que j'ai pas sa mère sur le dos bien sûr.

Cela dit ce week end nous étions rien que tous les deux. Nous avons eus le loulou mardi et mercredi parce que justement ce week end j'avais des truc a faire qui ne l'intéresserais certainement pas et comme souvent lorsque j'ai des rendez vous j'aime quand mon frère m'accompagne . Là, justement j'ai rendez vous avec un styliste de haute couture qui pour notre venu fermait sa boutique histoire que nous ne soyons pas déranger lors de nos achats. Chacune de ses création sont unique et c'est cela que j'aime.

Donc ce matin Tom et moi nous sommes réveillé à peu près en même temps j'ai super impatient à l'idée d'aller faire les course. Bon je savais que cela pouvais l'ennuyer un peu mais je lui ai promis que après on faisait tout ce qu'il voulait j'accepterais tout s'il acceptait de me suivre dans la boutique. Et comme ça lui convenait vers midi nous sommes parti avec sa voiture pour nous rendre à la boutique.

Arrivé la bas le type est ses employées nous firent tout un tas de courbettes Elles allaient sans doute occuper mon frère et bizarrement cela me dérangeait fortement. Mais je n'ai rien fait ressentir je me suis contenter de suivre l'homme qui me présentait ses création je me tourne vers mon frère lui montrant une combinaison kaki et un ensemble pantalon noir et chemise blanche plutôt sexy et j'ai aussi flasher sur un pancho gris en cachmir qui irai a merveille avec mon bonnet et comme il est très ouvert au niveau du col je pourrais mettre un débardeur noir tout ça avec un jeans moulant comme d'habitude. Tom je regarde en haussant les épaule Bon je pense qu'il pourra plus me dire lorsque je les aurais sur moi je file donc dans la cabine d'essayage pour d'abord enfiler la combinéson . Comme je suis prévoyant j'ai pris plusieurs paire de chaussures histoire de vraiment voir ce que ça peu donner. je ressort quelque minutes lus tard avec le nouveau vêtement sur le dos. Mon frère était occuper avec les demoiselle il discutait en fait. je fronces les sourcils un instant avant de détendre mes traits et de sourire. Je me racle alors la gorge.


Bill D: Kaulitz-Trümper — « Tom ? EUh t'en pense quoi ? »


Demandais-je avant de prendre la pose pour lui alors qu'il tourne la tête pour me regarder de haut en bas.

Le shopping, le shopping, le shopping… À croire que Bill n’avait que ce mot là à la bouche. Quand il m’a proposa de venir avec lui dans cette boutique de haute couture, j’ai d’abord répondu un « non » clair et précis. Puis finalement, j’ai cédé. En même temps, qui résisterait face à cette bouille d’enfant, qu’il sait si bien me faire ? Soupirant profondément, je nous ai donc conduit jusqu’à l’endroit voulu et nous sommes entrés calmement. Moi les mains dans les poches, lui, limite en train de sautiller partout. Heureusement que les portes avaient été verrouillé… imaginez un peu le carnage sinon. Le sourire aux lèvres, je laissai donc mon frère s’occuper avec les bonhommes tandis que moi, je me faisais outrageusement draguer par une bande de vendeuses très… charmantes. Oui, c’est le mot. Effectivement, je pourrais dire qu’elles sont extrêmement bien foutues et que poser mes mains sur leurs courbes ne me dérangeraient pas mais… je me retins. Mon regard parlait de toute façon très bien pour moi. Et les entendre glousser m’amusait énormément. Bon sang, j’en aurai volontiers allongé une sur une table si nous avions été seuls.

Un long soupire s’échappe de mes lèvres pendant que je forçai mes idées perverses à retourner au placard. Je croise rapidement mes bras contre mon torse et écoute les jeunes femmes me complimenter sur ma façon de jouer à la guitare… ou encore sur mon physique. Visiblement, elles ne savent pas quoi inventer pour me faire craquer, et j’en joue. Horrible, je sais. Mais de toute façon, depuis que je ne suis plus avec Lena, je suis redevenu ce salaud fini.

« Tom ? Euh t'en pense quoi ? »

Heureusement, mon jumeau me sort de là en me demandant mon avis. Après un dernier sourire à l’adresse des vendeuses, je me retourne et détaille Bill de haut en bas. Le moins que l’on puisse dire c’est… putain, c’est sex ! Étonnant d’entendre cela sortir de la bouche d’un hétéro pur et dur mais pourtant, c’est la stricte vérité. Mon double est véritablement magnifique et bordel, ce que je peux être fier de lui. Tranquillement, je m’approche de lui et presque aussitôt, tout le monde décampe. Du moins, le vendeur. Naturellement, je glisse mes doigts dans ses longs cheveux noirs et lui adresse un sourire sincère. Qui n’aimerait pas cette tenue ? Bill est tout simplement sublime.

« Tu vas toutes les faire craquer, encore »

Doucement, un petit rire s’échappe de mes lèvres et je m’approche encore de mon frère. Toutefois, avant de faire quoi que ce soit, je regarde autour de moi. Gênés et presque intimidés, les vendeurs retournent à leurs premières occupations. Je souris donc largement, fier de moi, et dépose un léger baisé sur la joue de l’androgyne. Vraiment, il est parfait… Comparé à moi, il a décidemment tout eu. Mais je ne le jalouse pas. Je sais à quel point la jalousie peut détruire les relations. Je me contente donc de l’admirer inlassablement, le cœur battant.

« Et dis moi, t’as rien là-dessous ? » demandai-je en attrapant la fermeture.

L’interrogeant du regard, je tire un petit peu sur le fin bout de tissu et approche mon visage de son cou. Mon regard plonge dans le décolleté que je viens de former et j’écarquille mes yeux. Même pas un débardeur ? Rien ? Amusé, je colle un deuxième bisou sur la joue de Bill et l’incite à se retourner. Après lui avoir donné une petite claque sur ses jolies fesses, je l’amène jusqu’à la cabine, contre laquelle je m’appuie tranquillement. Mes bras se croisent immédiatement contre mon torse et je regarde rapidement le reste des vêtements qu’il a choisi. Ce petit con me fait littéralement craquer.

J'avais enfiler cette combineson de tissue et c'est vrais que j'avais un style plutôt pas mal. J'ai quand même hésité à demander à Tom son avis simplement parce qu'il n'aime pas le shopping et qu'il aime me charier sur mon style, le truc c'est que quand il s'agit de shopping dans des boutique tels que celle là on peu pas me charier sinon j'achète rien. Donc pour finir je sort de la cabine les vendeurs et créateurs étaient en extase et toit t'était entouré des venteuse je me suis demander si la salope blonde avait encore un possibilité entre le décolleté et enlever le haut. Oui fallait voir le décolleter quoi c'est alarmant --' Je me racle donc la gorge pour attirer son attention. Pas à la blonde hein mais l'attention de mon frère. Et la je sais pas ce fut bizarre fin je trouve. Tout le monde c'était tut et attendait le verdict du guitariste qui se leva laissant tombé ses minettes. Et la les vendeurs ainsi que le créateurs firent signe au fille de quitter l a pièce et ils retournèrent tous à leurs activités passé


Tom Kaulitz-Trümper — « Tu vas toutes les faire craquer, encore »


J'ai un petit sourire nous étions vraiment proche, l me fait une bisous sur le coin des lèvres puis dans le cou avant de prendre la fermeture éclaire en main et de jouer légèrement avec. Je l'ai jamais vus comme ça mais j'avoue que...ouaw ! je sais pas depuis ces baisers que nous nous sommes échanger chez nous je...je sais pas c'est comme si j'avais besoin de plus dans ma relation avec lui, comme si cette fusion ne me suffisait plus.


Tom Kaulitz-Trümper — « Et dis moi, t’as rien là-dessous ? »

Bill D. Kaulitz-Trümper — « Non rien a par la base des sous-vêtement quoi xD Pourquoi ? »


Demandais-je avec un sourire angélique alors que mon regard avec le pimant du petit diable. Tom me claque doucement le fesse pour me faire entrer dans la cabine qui était assez grande pour être a deux dedans. Il inspecte ce que j'ai choisit d'un oeil médiculeux alors que je retirais mes chaussure pour ensuite faire descendre la combi. Mais avant je me tourne vers mon frère qui me regarde et voir il me matte en faire. je m'approche de lui


Bill D. Kaulitz-Trümper — « Hmm...il me semble que t'es le pro des zip toi...non ? »


Oui, moi et mes sous-entendu à la con x) Après un moment pour voir s'il avais saisi je pose sa main sur ma fermeture éclaire il jouais bien avec il y a quelques minutes.Et puis n'oublions pas que Tom sais comment déshabiller quelqu'un, c'est une art ou il est passé maitre. Je m'approche et puis fait un chaste baiser sur les lèvre, un de plus. J'avoue que personnellement je en sais plus trop ou j'en suis dans mes sentiment à l'égare de Julia et à son égare à lui je suis un peu perdu.

« Non rien à part la base des sous-vêtement quoi. Pourquoi ? »

Pourquoi ? Bill ose me demander « pourquoi » ? C’est vrai que nous avons un style totalement différent tous les deux. Lui préfère les choses très près du corps alors que moi… c’est tout l’inverse. Même au niveau des sous-vêtements. J’aime porter des caleçons bien larges, qui permettent à mes attributs de respirer correctement. J’avoue malgré cela, que parfois, j’ose des boxers serrés. Enfin, peu importe. Pour l’instant, je ne me préoccupe que du cas de mon androgyne de frangin. Dans cette combinaison, je le trouve extrêmement sexy. C’est la première fois que je pense quelque chose de semblable à l’égard d’un garçon… Quoi que Bill n’est pas qu’un simple garçon. Il est bien plus que ça & je n’ai aucune honte quant au fait de le trouver très beau et juste… parfait. À mes yeux, il l’est réellement.

« Comme ça, c’est si indécent… » lançai-je sans le penser.

Soit. En moins de temps qu’il en faut pour le dire, je me retrouve dans la cabine avec lui. Ses chaussures sont retirées et bientôt, ça sera le tour de sa combinaison. D’ailleurs, qu’attend t-il ? Le sourire aux lèvres, je m’approche tranquillement de lui & il en profite pour saisir ma main. Celle-ci est vite placée sur la fermeture. À nouveau, je joue gentiment avec et me demande ce qu’il attend. En fait, non. J’ai très bien comprit. Parce que quand il s’agit de déchiffrer les sous-entendus et les non-dits de Bill ; je suis tout simplement le meilleur.

« Hmm...il me semble que t'es le pro des zip toi...non ? »

Le temps que je réalise ce que Bill est en train de me dire, il m’embrasse. Plutôt surprit par ses paroles, je n’ajoute rien - pour le moment - et plonge mon regard dans le sien. Serait-il en train de m’allumer ? Riant silencieusement, je ferme la porte de la cabine et hausse tranquillement mes épaules. Maintenant que je suis certain que les vendeurs ne risquent pas de nous voir, je glisse délicatement ma main dans le cou de Bill, frôlant sa mâchoire avec mon pouce. Ma bouche effleure la sienne et je lui plaque un doux baisé dessus. Finalement, je reporte mon attention sur cette combinaison et je fais lentement descendre la fermeture… jusqu’à la moitié de son buste.

« Tu m’chauffes trésor ? Fais gaffe à tes petites fesses… soufflai-je avant d’en empoigner vivement une, dans ma main libre.

Amusé, je le relâche ensuite et termine de descendre la fermeture en tissu. Une fois fait, je remonte mes mains sur ses fines épaules et dégage plutôt sensuellement la combinaison, qui tombe au sol. J’imagine que pour la suite, il peut se débrouiller sans moi, non ? Je recule donc progressivement et mordille mon piercing. Mon regard vagabonde sur son corps presque nu et je m’en amuse beaucoup… J’aime le troubler et tenter de le mettre mal à l’aise. & là, en l’occurrence, la lueur présente dans mes yeux est assez… aguicheuse. Comme quoi, je peux tout aussi jouer de mon charme. Sans trop m’éloigner, j’attends avec impatience la prochaine tenue.